Comparé au F-22 ou au F-35, ce chiffre est également très attrayant. Apparemment, il prend également en compte un ensemble de missions à siège unique et à rôles multiples semblable à un F-16 et aux exigences de l’équipage qui y sont associées, et pas seulement un rôle de supériorité aérienne. Et encore une fois, parce que le F-15 est un produit connu, ce chiffre n’est pas optimiste. Il convient également de noter que le coût du développement d’un avion – qui est en l’occurrence nul – et son « prix de départ » ne représentent qu’une partie de son histoire financière. Les nouvelles chaînes logistiques ; les installations de soutien centralisées ; les escadrons d’entraînement ; l’infrastructure unique requise pour chaque base ; les bureaux de programme ; le développement des tests opérationnels et des tactiques ; l’intégration des armes, etc. ’un nouvel avion de combat. Le F-15X est spécifiquement configuré pour ne rien exiger de cela. Il s’insère directement dans l’infrastructure Eagle existante de l’USAF et utilise le même équipement de support au sol que ses prédécesseurs F-15C/D et F-15E.
Quel est le meilleur avion de combat ?
Où l’on discerne que l’unanimité est battue en brèche par les exigences inconciliables de ce « club des cinq » (France, RFA et Royaume-Uni rejoints par l’Italie et l’Espagne). Les Britanniques veulent toujours un appareil à prédominance air-air pouvant atteindre le rideau de fer à partir de ses bases les plus à l’ouest ; en conséquence, cet appareil serait trop gros pour être utilisé sur porte-avions. ] et pourra donc embarquer sur porte-avions. Pour surmonter les dissensions, et alors qu’AMD-BA plaide pour un maître d’œuvre unique (lui en l’occurrence), la partie britannique accepte de lui abandonner la conception de la cellule à condition que Turbo-Union obtienne celle du moteur. ], et il est exclu pour la France de confiner Snecma aux moteurs civils (tels que le CFM56) ou d’envisager deux motorisations pour le futur avion de chasse. Les ministres de la défense des cinq pays reçoivent l’ordre de se mettre d’accord sur le cahier des charges. À titre de comparaison un IRBM lancé à partir du sol, pèse plus de 25 t. Il y a eu des spéculations selon lesquelles le mystérieux missile serait une version modernisée du missile antisatellite à trois étages Kontakt 79M6 qui peut atteindre une altitude de 600 km. Le missile a également des capacités d’interception de missiles balistiques en phase de croisière. Kontakt a été testé à partir de 1987 sur deux MiG-31 D modifiés (dont un est immatriculé « 072 Blue »). Donc, dans le cas du MiG-31 BM immatriculé « 81 blue », il peut s’agir de n’importe quelle classe de missiles, y compris antisatellite. ]. La portée de Burevestnik serait au moins 10 fois plus élevée que le missile de croisière Tomahawk états-unien. Cela permettrait à la Russie de contourner les zones de défense AA et de frapper n’importe quelle cible dans le monde. Les avantages de l’utilisation de ce type de missile sont cependant éclipsés par les risques qu’ils peuvent poser, car il y a une possibilité de fissuration en vol et de rupture de l’isolation du réacteur. Il y a un décalage entre les déclarations faites aux stations de télévision par des sources du Renseignement états-unien et la demande impérative faite à la Russie par Kay Bailey Hutchison. Ce n’est que si la Russie avait réussi ses tests sur le missile Burevestnik que l’ambassadrice des États-Unis à l’Otan pourrait communiquer que les États-Unis feront tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher le développement ultérieur du programme. À l’inverse, si les résultats des tests Burevestnik n’avaient pas été concluants, quel est l’intérêt pour la Russie de l’adapter au MiG-31 BM ?Support de la VR (casque de Réalité Virtuelle). Modèles 3D de l’appareil (extérieur) et du cockpit hautement détaillé et conforme. Large panoplie d’armements air-air et air-sol, dont le canon interne. Modélisation des contre-mesures électroniques et du récepteur d’alerte radar. Modélisation réaliste du système d’approche et d’appontage sur porte-avions. Simulation détaillée et conforme des surfaces de contrôle de l’aile incluant les becs de bord d’attaque, les flaperons et les ailerons différentiels. En complément des stabilisateurs différentiels conventionnels, les canards ont également été améliorés pour un comportement et un rendu plus réaliste. Le système de commandes de vol (Flight Control System – FCS) se reconfigure automatiquement en fonction de la phase de vol. Mécanisme de repliage des ailes, vol en avion de chasse train d’atterrissage renforcé et dirigeabilité à haut gain du train avant pour utilisation sur les ponts encombrés des porte-avions. Physique correcte pour les brins d’arrêt et leur interaction avec l’appareil. Réacteurs disposant d’un « mode spécial » qui permet d’obtenir une poussée jusqu’à 12 800 kg (au lieu de 12 500 kg pour la poussée normale). Ce mode incorpore également des limitations réalistes en matière de durée d’utilisation. Mode spécifique des commande de vol pour le ravitaillement en vol. Dans ce mode, lorsque le manche est lâché, l’avion maintient automatiquement le vol en palier. De plus, ce mode permet un contrôle plus fin dans une plage d’assiette de ± 5° et une plage de roulis de ± 10°, facilitant le contact avec le ravitailleur. L’auto-poussée (Auto-Thrust Control – ATC) est utilisée pour le maintien automatique de la vitesse et peut être paramétrée pour viser une vitesse donnée. Cela s’avère fort utile pour les appontages. Ajout du système automatique d’évitement du sol (mode « Uvod ») qui permet le vol « radada » (très basse altitude) en sécurité. NB : Cet appareil est strictement identique à celui inclus dans le module Flaming Cliffs 3. Faisant partie de la série DCS: Flaming Cliffs 3, cet appareil ne dispose pas d’un cockpit cliquable.